Peintre essentiellement figurative et surtout instinctive, Maxime fuit la routine.  Native du Saguenay, elle grandit sur la Côte-Nord où elle fit ses premiers contacts avec l’art par le biais de Gilles Beaulieu, artiste peintre. 

 
À travers son parcours universitaire, la peinture devint pour elle une nécessité. Chaque œuvre devint un véritable moyen d’expression et d’extériorisation.  Des portraits réalistes sur panneau de bois aux œuvres abstraites sur papier, un style devient le laboratoire du suivant. L'une de ses œuvres faisant partie de la collection de l'UQAC, elle poursuit ses études autant autodidactes que professionnelles.

Lors de tous ses choix de sujets, il y a sélection d’un tabou caché dans un jardin lyrique en fond. Que ce soit la maladie mentale, la stigmatisation, le sexisme, la peur de la mort : il y a un retour à l’humain, au ressenti primaire, à ce qu’on néglige par peur de déplaire et que l’on s’inflige par désir de plaire. 

À la fois extravertie et introvertie, on découvre à travers son art cette dualité aussi intrigante et intérieure qu’extravagante et colorée. L’artiste travaille avec la peinture acrylique et les techniques mixte.  Ses contrastes et son utilisation dramatique de la lumière constituent sa signature et définissent son langage plastique.  Son sens de l’équilibre hors du commun entre le réalisme et l’abstraction contribuent également à la singularité de son œuvre.

Se consacrant à sa carrière artistique depuis près de dix ans, l’artiste se voue actuellement à la réalisation de commandes et à la conception de nouvelles séries d’œuvres en vue d’événements à venir.

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